Introduction
Grosse embrouille entre le Cambodge et la Thaïlande à la frontière, ambiance électrique depuis fin juillet 2025. On revient sur le clash qui fait flipper toute la région, à la sauce Cadiquoi : sans filtre, avec les vrais bails.

🔥 Y a le feu : retour sur le clash de fin juillet
Les combats explosent autour des temples
- 28-29 juillet 2025 : La grosse castagne ! Des affrontements bien violents éclatent autour de Ta Moan Thom, Ta Krabei et surtout le fameux Preah Vihear. C’est pas des pétards : artillerie lourde, roquettes, frappe aérienne, ça ne rigole pas.
- Bilan ? Plusieurs dizaines de morts (militaires, civils), et côté thaïlandais, plus de 40 000 personnes sur la route à cause des évacuations.
Blocage : la fermeture totale de la frontière
Dès les premiers jours d’août, Bangkok ferme la frontière dans plusieurs provinces : plus la peine d’espérer passer sauf si c’est vital. Et les tensions montent encore d’un cran.
😡 “C’est pas moi, c’est l’autre !” : le jeu des accusations
Chacun envoie la faute à l’adversaire :
- Le Cambodge : “C’est les Thaïlandais les premiers, ils ont posé des mines, tué nos officiers…”
- La Thaïlande : “Vous violez notre frontière, c’est grave !” Résultat ? Bangkok rappelle son ambassadeur, vire l’envoyé cambodgien. Ambiance.
✋ Cessez-le-feu fragile et inquiétudes début août
Ça s’arrête (un peu)… mais ça chauffe toujours
- 28 juillet : Un cessez-le-feu est signé sous la pression de la Malaisie, des États-Unis et de la Chine.
- Mais début août : Les alertes pleuvent encore ! Le Cambodge hurle au secours à la communauté internationale, expliquant qu’une nouvelle offensive thaïlandaise est dans les tuyaux. Des ordres d’évacuation sont même lancés côté thaï.

L’ASEAN tente de jouer les médiateurs
Un groupe d’observateurs de l’ASEAN est envoyé sur place pour veiller au grain, mais c’est pas gagné – quand t’as l’armée de chaque côté, c’est chaud à gérer.
🤔 Mais au fait, pourquoi se battre ?
Tout part d’une vieille embrouille de frontières qui date du traité franco-siamois de 1904. Le temple de Preah Vihear a été attribué au Cambodge en 1962 par la Cour internationale de Justice, mais les accès sont toujours ultra-contestés. Ça reste la zone grise parfaite pour se chauffer sur fond de nationalisme.
⚡ Les répercussions : c’est pas juste local…
- Diplomatie KO : les relations entre les deux pays sont glaciales, et ça fait trembler l’Asie du Sud-Est.
- Risque de guerre : un dérapage et tout explose. Deux armées face à face, personne ne rigole.
- Tout le monde s’en mêle : l’ASEAN, les États-Unis, la Chine, tout le monde veut éviter que ça explose pour de bon.
⚠️ Conclusion : Alerte rouge sur la frontière
Cette crise, c’est la preuve que les vieilles guerres de frontières, c’est jamais réglé, surtout avec le nationalisme au taquet. Aujourd’hui, des dizaines de milliers de familles flippent et la diplomatie joue avec le feu. Si ça dérape, c’est toute la région qui risque d’y passer.
On croise les doigts pour que ça se calme. En attendant, nous on suit ça pour toi, reste branché !
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